L'automobile s'était arrêté sur le bord du chemin. Ils n'étaient plus en ville. La Mokolé s'était éloignée de cet oiseau de métal puant et bruyant. Elle n'était pas le corps dans lequel elle se trouvait. Il était trop chaud, si peu adapté à l'environnement. Les mâchoires étaient très fragiles. Le corps flottait très mal. L'odorat était très mauvais. La seule amélioration, était la vue. Les rats (lire ici : humains) avaient une vue très développés.
Elle ne comprenait pas les qu'émettait la Peau de Chat ni l'autre humaine. Elle chercha des yeux son mâle reproducteur.
La Mokolé se demandait à quel endroit ils allaient.